Première livraison des nouveaux sous-marins nucléaires estimée pour 2035
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La dernière génération de l’un des éléments phares de la dissuasion nucléaire française est en marche. Le 19 février dernier, Florence Parly annonçait le lancement de la « phase de conception générale » de cette troisième génération de sous-marins nucléaires lanceurs d’engins. Ces « SNLE 3G » représentent un contrat de plusieurs milliards, le montant reste confidentiel, sur cinq ans.
La construction du premier bâtiment devrait débuter en 2023 pour une livraison estimée en 2035. L’objectif à terme est de livrer un bateau, tous les cinq ans, soit jusqu’en 2050. La ministre des Armées a indiqué que d’autres contrats devraient également suivre, tout en restant très évasive sur le montant de la conception de ces sous-marins ultramodernes.
La construction du premier bâtiment devrait débuter en 2023 pour une livraison estimée en 2035. L’objectif à terme est de livrer un bateau, tous les cinq ans, soit jusqu’en 2050. La ministre des Armées a indiqué que d’autres contrats devraient également suivre, tout en restant très évasive sur le montant de la conception de ces sous-marins ultramodernes.
Un coût classé secret-défense
Il semblerait même que le ministère des Armées soit, à l’heure actuelle, incapable de préciser le coût d’un tel programme, qui s’échelonne sur plusieurs dizaines d’années. On pourrait néanmoins tenter une comparaison avec le coût de l’actuelle classe de sous-marins en service. Mais là encore, impossible, car ce montant est classé secret-défense.
On sait néanmoins que la dernière loi de programmation militaire fixait une augmentation nette de l’agrégat des dépenses liées à la dissuasion nucléaire sur les années à venir. De 4,12 milliards d’euros en 2021, ce chiffre devrait grimper à six ou sept milliards d’euros en 2025. On peut néanmoins se féliciter d’un tel contrat, qui représente 20 millions d’heures de travail par bâtiment, en-dehors des 15 millions d’heures nécessaires à leur développement.
On sait néanmoins que la dernière loi de programmation militaire fixait une augmentation nette de l’agrégat des dépenses liées à la dissuasion nucléaire sur les années à venir. De 4,12 milliards d’euros en 2021, ce chiffre devrait grimper à six ou sept milliards d’euros en 2025. On peut néanmoins se féliciter d’un tel contrat, qui représente 20 millions d’heures de travail par bâtiment, en-dehors des 15 millions d’heures nécessaires à leur développement.