La France poursuit son action au Mali
D’après Bamako, au pouvoir d’une junte militaire, la force Barkhane n’aurait aujourd’hui plus de base légale pour intervenir au Mali. La junte au pouvoir semble pourtant ignorer l’existence de la convention de Vienne sur le droit des traités qui stipule l’existence d’un préavis de douze mois avant la rupture définitive d’un accord. En l’occurence, le Traité de coopération en matière de défense entre la France et le Mali.
Moralité, Barkhane dispose d’un délai de douze mois pour quitter le territoire malien, et cesser son activité sur place. En attendant, les forces françaises poursuivent la lutte contre le terrorisme islamique au Sahel. Illustration avec la capture récente d’un cadre important de l’état islamique au grand Sahara (EIGS), Oumeya Ould Albakaye. Actuellement, le contexte de la capture de ce personnage reste encore flou. Sans doute volontairement.
Moralité, Barkhane dispose d’un délai de douze mois pour quitter le territoire malien, et cesser son activité sur place. En attendant, les forces françaises poursuivent la lutte contre le terrorisme islamique au Sahel. Illustration avec la capture récente d’un cadre important de l’état islamique au grand Sahara (EIGS), Oumeya Ould Albakaye. Actuellement, le contexte de la capture de ce personnage reste encore flou. Sans doute volontairement.
Un nouveau succès pour la force Barkhane
Dans son communiqué, l’état-major des Armées explique que ce cadre de haut plan de l’EIGS a été capturé par la force Barkhane, durant une opération menée dans la nuit du 11 au 12 juin derniers, à proximité de la frontière Malo-nigérienne. Impossible de savoir pour l’instant si la capture d’Oumeya Ould Albakaye a eu lieu côté nigérien, ou côté malien. Mais ce n’est sans doute pas le plus important dans cette affaire.
Ce nouveau succès de la force Barkhane révèle bien que malgré les nombreuses dissonances diplomatiques entre Paris et Bamako, sans compter les accusations d’espionnage et de subversion lancées par les autorités maliennes à l’encontre des armées françaises, ces dernières poursuivent leur combat avec acharnement contre le terrorisme qui gangrène encore la bande sahélo-saharienne.
Ce nouveau succès de la force Barkhane révèle bien que malgré les nombreuses dissonances diplomatiques entre Paris et Bamako, sans compter les accusations d’espionnage et de subversion lancées par les autorités maliennes à l’encontre des armées françaises, ces dernières poursuivent leur combat avec acharnement contre le terrorisme qui gangrène encore la bande sahélo-saharienne.