Un retour en arrière pour le Jaguar
Le programme Jaguar, piloté par le groupement momentané d'entreprises (GME) composé de Nexter, Arquus et Thales, a connu bien des obstacles depuis son lancement. Sébastien Lecornu, le ministre des Armées, avait révélé des inquiétudes concernant la livraison des véhicules, évoquant des "aléas" sans donner plus de détails. Des problèmes de stabilisation de la tourelle avaient notamment été rapportés, retardant la mise en service de ces engins auprès de certaines unités de l'armée de Terre.
Toutefois, ces aléas semblent avoir été pris en compte. Le général Pierre Schill, chef d'état-major de l’armée de Terre, a déclaré que des ajustements étaient en cours et que les industriels impliqués dans le projet étaient en phase avec les nécessités de l'Armée de Terre en matière d'utilisation de ce blindé.
Toutefois, ces aléas semblent avoir été pris en compte. Le général Pierre Schill, chef d'état-major de l’armée de Terre, a déclaré que des ajustements étaient en cours et que les industriels impliqués dans le projet étaient en phase avec les nécessités de l'Armée de Terre en matière d'utilisation de ce blindé.
Vers un Jaguar plus opérationnel
Le futur du Jaguar semble prometteur. Le général Schill a annoncé qu'une version améliorée, dotée d'un nouveau logiciel, sera livrée à l'armée de Terre en 2024. Ce nouveau standard ne permettra pas encore de tirer au-delà de la vue directe, mais il sera capable de tirer en mouvement sur des cibles également en mouvement.
Pour rappel, le Jaguar est équipé d'une tourelle munie d'un canon de 40 mm télescopé, d'une mitrailleuse téléopérée de 7,62 mm et de missiles Akeron MP. Bien que la capacité de tir au-delà de la vue directe ne soit pas encore disponible, le futur semble encourageant selon les dires du CEMAT.
Pour rappel, le Jaguar est équipé d'une tourelle munie d'un canon de 40 mm télescopé, d'une mitrailleuse téléopérée de 7,62 mm et de missiles Akeron MP. Bien que la capacité de tir au-delà de la vue directe ne soit pas encore disponible, le futur semble encourageant selon les dires du CEMAT.