Le Rafale M face au Ski Jump
Le Rafale M est-il capable d’utiliser un Ski Jump, ces tremplins incurvés, placés à l’avant de certains porte-avions, permettant de faciliter le décollage d’appareils ? Réponse dans quelques jours. Depuis le 6 janvier, un Rafale M de la Marine nationale est entré en phase de tests de qualification quant à l’usage d’un tel dispositif. Il est opposé dans cette compétition à un autre très bon appareil de l’aéronavale militaire, le F/A 18 E/F Super Hornet américain.
L’objectif de cette compétition n’est ni plus ni moins que d’équiper les porte-avions de la Marine indienne. Les essais commencés début janvier, se déroulent sur la base aéronavale de Goa, en Inde, où se trouve une plateforme Ski Jump. Pour l’instant, le Rafale M est le seul appareil à être testé. Les qualifications du Super Hornet se dérouleront en février prochain. Le concurrent américain du Rafale semble néanmoins avoir une longueur d’avance : il a déjà fait ses preuves en la matière en décembre 2020.
L’objectif de cette compétition n’est ni plus ni moins que d’équiper les porte-avions de la Marine indienne. Les essais commencés début janvier, se déroulent sur la base aéronavale de Goa, en Inde, où se trouve une plateforme Ski Jump. Pour l’instant, le Rafale M est le seul appareil à être testé. Les qualifications du Super Hornet se dérouleront en février prochain. Le concurrent américain du Rafale semble néanmoins avoir une longueur d’avance : il a déjà fait ses preuves en la matière en décembre 2020.
Un chasseur en compétition avec le Super Hornet américain
Néanmoins, de nombreuses simulations conduites chez Dassault Aviation ont montré que le Rafale M avait toutes les capacités pour décoller de cette manière. L’avionneur français a d’ailleurs mis les bouchées doubles pour ces tests. Il faut dire qu’à l’issue de la compétition, le contrat pourrait représenter une commande entre 36 et 57 avions de combat destinés à équiper l’aéronautique navale indienne. Ce qui représenterait une nouvelle victoire pour le chasseur français, par ailleurs déjà très prisé à l’international.
La Grèce, la Croatie, les Émirats arabes unis, l’Égypte, le Qatar et l’Inde (qui en possède déjà plusieurs) ont jeté leur dévolu sur le chasseur français multirôles. Quant à son utilisation sur porte-avions, le Rafale se démarque de son concurrent américain par des dimensions plus restreintes, qui s’adaptent parfaitement au dispositif indien, à l’inverse du Super Hornet, qui nécessiterait des ajustements.
La Grèce, la Croatie, les Émirats arabes unis, l’Égypte, le Qatar et l’Inde (qui en possède déjà plusieurs) ont jeté leur dévolu sur le chasseur français multirôles. Quant à son utilisation sur porte-avions, le Rafale se démarque de son concurrent américain par des dimensions plus restreintes, qui s’adaptent parfaitement au dispositif indien, à l’inverse du Super Hornet, qui nécessiterait des ajustements.