Le contexte d'une opération risquée
Sergent Nicolas Mazier Defense.gouv
L'État islamique, bien que considérablement affaibli après la chute de son califat en 2014, n'est pas complètement éradiqué. Les rapports des Nations Unies ont récemment mis en lumière le risque potentiel de sa résurgence. Pour contrer cette menace, des opérations sont régulièrement lancées par diverses forces internationales, dont celles des États-Unis sous l'opération Inherent Resolve.
Les militaires français, intégrés à la "task force" Hydra, participent activement à ces missions, opérant souvent en coulisse. C'est lors de l'une de ces missions, le 28 août, en soutien aux forces irakiennes, que le sergent Nicolas Mazier du Commando Parachutiste de l'Air n°10 a été gravement blessé, succombant à ses blessures.
Les militaires français, intégrés à la "task force" Hydra, participent activement à ces missions, opérant souvent en coulisse. C'est lors de l'une de ces missions, le 28 août, en soutien aux forces irakiennes, que le sergent Nicolas Mazier du Commando Parachutiste de l'Air n°10 a été gravement blessé, succombant à ses blessures.
Le sergent Nicolas Mazier, un militaire d'exception
Engagé depuis le 19 juillet 2023 dans l'opération Chammal, le sergent Nicolas Mazier, originaire du CPA 10, était en première ligne pour la formation et le soutien des forces irakiennes dans la lutte antiterroriste. Son engagement sans faille et ses compétences exceptionnelles, reconnues tant lors de ses missions à l'étranger qu'en métropole, faisaient de lui un pilier au sein de ses unités.
Sa mort a suscité une vague d'émotion à travers la France. Le président de la République, l'Élysée, et d'autres hauts responsables, dont le ministre des Armées et le chef d'état-major de l'armée de l'Air & de l'Espace, ont rendu hommage à son dévouement et à son sacrifice. Il rejoint, malheureusement, d'autres militaires français tombés récemment en Irak, rappelant le coût humain de la lutte contre le terrorisme.
Sa mort a suscité une vague d'émotion à travers la France. Le président de la République, l'Élysée, et d'autres hauts responsables, dont le ministre des Armées et le chef d'état-major de l'armée de l'Air & de l'Espace, ont rendu hommage à son dévouement et à son sacrifice. Il rejoint, malheureusement, d'autres militaires français tombés récemment en Irak, rappelant le coût humain de la lutte contre le terrorisme.