Un simulateur de vol sur Rafale réalisé par Dassault Aviation
Sont-ce les journalistes qui sont trop sensibles, ou les équipes de Dassault Aviation qui ont poussé le réalisme de cette simulation trop loin ? Le 9 novembre dernier, l’avionneur annonçait avoir lancé une simulation gratuite, et téléchargeable en ligne de son chasseur, le Rafale. Un jeu vidéo fonctionnant avec le casque de réalité augmentée, Oculus Rift.
Le principe est simple. Si vous possédez un casque de la sorte, vous pouvez vous essayer à quelques phases de vol classiques. Celles que doivent réaliser les pilotes du chasseur au quotidien. On peut ainsi faire évoluer l’avion grâce à un clavier, une manette de console ou un joystick. Une fois configuré, le jeu propose un vol en patrouille, le ciblage de targets virtuelles, un vol au-dessus du Mont Blanc et un ravitaillement en vol.
Le principe est simple. Si vous possédez un casque de la sorte, vous pouvez vous essayer à quelques phases de vol classiques. Celles que doivent réaliser les pilotes du chasseur au quotidien. On peut ainsi faire évoluer l’avion grâce à un clavier, une manette de console ou un joystick. Une fois configuré, le jeu propose un vol en patrouille, le ciblage de targets virtuelles, un vol au-dessus du Mont Blanc et un ravitaillement en vol.
Un jeu vidéo gratuit à la réalisation laissant à désirer
Un programme alléchant sur le papier. En réalité, l’expérience s’avère moins exaltante que prévu, comme le rapporte nos confrères du site internet L’Usine Digitale. Le casque de réalité augmentée ne sert pas à grand-chose puisqu’en vol, on n’est pas placé dans le cockpit, mais derrière l’avion. Pire, le positionnement de cette caméra entraîne chez le joueur une sorte de mal des transports. La nausée !
Le site L’Usine Digitale ajoute que les graphismes du simulateur laissent à désirer, tout comme les sons et la jouabilité. L’intérêt des missions reste également limité puisque pour les remplir comme il faut, il suffira de placer l’appareil dans des cibles présentes dans le ciel. Une petite production qui s’avérait ludique en théorie, mais qui ne vaut pas des licences telles que Flight Simulator ou encore X-Plane.
Le site L’Usine Digitale ajoute que les graphismes du simulateur laissent à désirer, tout comme les sons et la jouabilité. L’intérêt des missions reste également limité puisque pour les remplir comme il faut, il suffira de placer l’appareil dans des cibles présentes dans le ciel. Une petite production qui s’avérait ludique en théorie, mais qui ne vaut pas des licences telles que Flight Simulator ou encore X-Plane.