Des commandes de drones à venir
L’avenir de l’Armée de Terre passera (aussi) par les drones. C’est en tout cas l’intuition du major général de l’Armée de Terre, le général Hervé Gomart, et du chef d’état-major de l’Armée de Terre, le général Pierre Schill. Invités à échanger devant l’Association des journalistes de défense (AJD), ces derniers ont évoqué leur souhait de vouloir déployer pas moins de 3.000 drones au sein de l’Armée de Terre d’ici 2023.
Il ne s’agira pas de drones tactiques de type Patroller, prévus pour 2022, mais plutôt de minidrones, de microdrones et de nanodrones. Soit des appareils de petite taille qui sont déjà largement employés, notamment auprès des Forces spéciales de l’Armée de Terre. Leur phase de test, ces appareils l’ont déjà validée puisqu’ils font l’objet d’un usage massif au Sahel actuellement, dans le cadre de l’opération Barkhane.
Il ne s’agira pas de drones tactiques de type Patroller, prévus pour 2022, mais plutôt de minidrones, de microdrones et de nanodrones. Soit des appareils de petite taille qui sont déjà largement employés, notamment auprès des Forces spéciales de l’Armée de Terre. Leur phase de test, ces appareils l’ont déjà validée puisqu’ils font l’objet d’un usage massif au Sahel actuellement, dans le cadre de l’opération Barkhane.
Informer en temps réel les fantassins au sol
S’agissant des minidrones, c’est le modèle SMDR qui a été retenu par les forces armées. Quant aux microdrones, il s’agira des drones de type NX70. D’autres modèles, de type drones quasi-consommables, devraient également grossir les rangs de ces appareils destinés à apporter aux fantassins une vision globale du champ de bataille, en l’espace de quelques minutes seulement.
L’Armée de Terre souhaite donc renforcer son stock de drones de petite taille. Elle veut également se prémunir d’attaques de ce genre. Les combats contre les terroristes islamiques, notamment en Syrie, ont révélé que l’ennemi était en mesure aujourd’hui d’utiliser de tels engins pour porter des attaques meurtrières. Aussi, plusieurs fusils antidrones MC2 Technologies Nord F5 devraient également intégrer l’arsenal disponible.
L’Armée de Terre souhaite donc renforcer son stock de drones de petite taille. Elle veut également se prémunir d’attaques de ce genre. Les combats contre les terroristes islamiques, notamment en Syrie, ont révélé que l’ennemi était en mesure aujourd’hui d’utiliser de tels engins pour porter des attaques meurtrières. Aussi, plusieurs fusils antidrones MC2 Technologies Nord F5 devraient également intégrer l’arsenal disponible.