Les Maisons Athos, une approche centrée sur le blessé
La maison Athos de Pluneret a été inaugurée par Patricia Miralles, secrétaire d'État auprès du ministre des Armées. Il s'agit de la quatrième maison de ce type, après Bordeaux, Toulon et Aix-les-Bains, soulignant l'importance de cette approche centrée sur le blessé psychique. Les maisons Athos permettent aux militaires de se projeter dans leur parcours de reconstruction grâce à un accompagnement personnalisé.
Depuis leur lancement en 2021, les maisons Athos ont déjà accompagné 300 blessés. Elles offrent un accès gratuit aux militaires volontaires souffrant de troubles psycho-traumatiques, qu'ils soient encore en activité ou non. L'objectif est de favoriser leur reconstruction dans un environnement non médicalisé, combinant soutien psychosocial, élaboration d'un projet de vie et reprise d'activités.
Depuis leur lancement en 2021, les maisons Athos ont déjà accompagné 300 blessés. Elles offrent un accès gratuit aux militaires volontaires souffrant de troubles psycho-traumatiques, qu'ils soient encore en activité ou non. L'objectif est de favoriser leur reconstruction dans un environnement non médicalisé, combinant soutien psychosocial, élaboration d'un projet de vie et reprise d'activités.
Un plan ambitieux pour soutenir les blessés et leurs familles
La maison de Pluneret répond à un besoin de proximité pour les nombreux militaires et anciens combattants du nord-ouest de la France. Cette quatrième structure témoigne de l'intensification du dispositif Athos, soutenue par le Plan d'accompagnement des blessés et de leurs familles initié par le ministre des Armées, Sébastien Lecornu. Ce plan prévoit l'ouverture de 10 maisons Athos d'ici 2030, dont une à deux en Outre-mer, pour accueillir plus de 1.000 blessés psychiques.
L'expansion du dispositif Athos s'inscrit dans une approche globale et complète du traitement des blessures psychiques. Patricia Miralles a rappelé les trois objectifs principaux : "mieux prévenir, mieux diagnostiquer et mieux soulager". Les maisons Athos participent à cette dernière étape en offrant un accompagnement individuel et des projets collectifs pour aider les blessés à envisager l'avenir. "Ce n'est pas un dispositif militaire, mais c'est un dispositif pour les militaires, dans un environnement où ils sont compris et où la particularité de leur métier et de leur engagement est parfaitement intégrée", a conclu Patricia Miralles.
L'expansion du dispositif Athos s'inscrit dans une approche globale et complète du traitement des blessures psychiques. Patricia Miralles a rappelé les trois objectifs principaux : "mieux prévenir, mieux diagnostiquer et mieux soulager". Les maisons Athos participent à cette dernière étape en offrant un accompagnement individuel et des projets collectifs pour aider les blessés à envisager l'avenir. "Ce n'est pas un dispositif militaire, mais c'est un dispositif pour les militaires, dans un environnement où ils sont compris et où la particularité de leur métier et de leur engagement est parfaitement intégrée", a conclu Patricia Miralles.