Ne pas reproduire les erreurs de lancement de l'A400M
L'A400M "Atlas" a marqué un tournant dans l'aviation militaire de transport européenne, bien qu'il ait souffert de nombreux retards et surcoûts. Tom Enders, ancien PDG d'Airbus, a admis avoir commis des erreurs en confiant le développement des moteurs à un consortium peu expérimenté. Cette décision a entraîné de nombreux problèmes, notamment au niveau du contrôle des turbopropulseurs.
Pour le futur avion de transport tactique, le FMTC, il est essentiel de ne pas reproduire les mêmes erreurs. L'idée est de capitaliser sur les technologies existantes et éprouvées pour assurer une transition efficace et rentable. Selon le général Frédéric Parisot, le futur avion pourrait être équipé des mêmes turbopropulseurs que l'A400M.
Pour le futur avion de transport tactique, le FMTC, il est essentiel de ne pas reproduire les mêmes erreurs. L'idée est de capitaliser sur les technologies existantes et éprouvées pour assurer une transition efficace et rentable. Selon le général Frédéric Parisot, le futur avion pourrait être équipé des mêmes turbopropulseurs que l'A400M.
L'avantage de garder les mêmes moteurs
L'utilisation des moteurs de l'A400M dans le futur avion de transport tactique présente de nombreux avantages. Premièrement, cela éviterait les coûts de recherche et développement, et réduirait ainsi les risques de retards et de surcoûts. Deuxièmement, cela permettrait de réaliser des économies d'échelle. Enfin, cela faciliterait la maintenance opérationnelle et l'approvisionnement en pièces détachées.
Une version spéciale de cet "A200M" pourrait également être conçue pour répondre aux besoins spécifiques des forces spéciales, suggérant une capacité native C3 ISTAR. Cette stratégie, combinant la modernisation et l'utilisation de technologies éprouvées, pourrait être la clé d'une transition efficace vers la prochaine génération de l'aviation militaire de transport européenne.
Une version spéciale de cet "A200M" pourrait également être conçue pour répondre aux besoins spécifiques des forces spéciales, suggérant une capacité native C3 ISTAR. Cette stratégie, combinant la modernisation et l'utilisation de technologies éprouvées, pourrait être la clé d'une transition efficace vers la prochaine génération de l'aviation militaire de transport européenne.