Un exercice d'envergure dans le Finistère
Les habitants de la pointe bretonne vont sentir une activité militaire inédite, et peu habituelle, dans la région, dans les jours à venir. L’édition 2019 de l’exercice interarmées Finistère a débuté lundi 7 octobre. Durant quatre jours, le département le plus à l’Ouest de la France va être le terrain d’opération de plusieurs unités militaires, qu’elles appartiennent à la Royale, à l’Armée de Terre ou encore à l’Armée de l’Air.
Créé en 2011, cet exercice a pour but, précise le journaliste de Ouest France, Philippe Chapleau, auteur du blog lignesdedefense, de contribuer à l’entraînement permanent et régulier des personnels qui arment le centre opération (CO) du Commandement de la Défense du Finistère (CDF). Un personnel réserviste dont il faut alimenter la formation permanente.
Créé en 2011, cet exercice a pour but, précise le journaliste de Ouest France, Philippe Chapleau, auteur du blog lignesdedefense, de contribuer à l’entraînement permanent et régulier des personnels qui arment le centre opération (CO) du Commandement de la Défense du Finistère (CDF). Un personnel réserviste dont il faut alimenter la formation permanente.
300 soldats mobilisés
Le cadre de l’exercice est le suivant : la réaction militaire à une menace terroriste, dirigée contre les sites de Défense de la pointe bretonne. Le Finistère peut à ce sujet se vanter d’en accueillir un certain nombre : de l’Arsenal de Brest en passant par la base aérienne de Landivisiau, ou encore la base sous-marine de l’île Longue. Des bases à l’intérêt stratégique évident, et qui offrent un cadre idéal à cet exercice grandeur nature.
Sur son blog, Philippe Chapleau indique que pas moins de 300 soldats, d’active et réservistes, seront mobilisés, uniquement au sol, pour cet exercice qui associe également les Forces de sécurité intérieure, comme la Gendarmerie nationale. Un exercice qui sera réalisé enfin sans véhicules blindés, et sans usage de quelque munition que ce soit.
Sur son blog, Philippe Chapleau indique que pas moins de 300 soldats, d’active et réservistes, seront mobilisés, uniquement au sol, pour cet exercice qui associe également les Forces de sécurité intérieure, comme la Gendarmerie nationale. Un exercice qui sera réalisé enfin sans véhicules blindés, et sans usage de quelque munition que ce soit.