Un dernier hommage
Le brigadier Tojohasina Razafintsalama va recevoir les derniers honneurs militaires, lundi 27 juillet, à Paris. « RDV demain à 16h30 sur le pont Alexandre III à Paris, ou virtuellement sur nos réseaux sociaux, pour saluer la mémoire du brigadier Tojohasina Razafintsalama », peut-on notamment lire sur le compte Twitter de l’État-Major des Armées.
Ce soldat, d’origine malgache, était engagé dans l’opération Barkhane avec son régiment, le 1er régiment de hussards parachutistes (RHP) de Tarbes. Il est décédé jeudi 23 juillet dernier au Mali, lors d'un contact avec un véhicule suicide rempli d’explosifs. Célibataire et sans enfant, il s’était engagé avec le 1er RHP en 2008. Il avait été envoyé au Mali le 14 juillet dernier.
Ce soldat, d’origine malgache, était engagé dans l’opération Barkhane avec son régiment, le 1er régiment de hussards parachutistes (RHP) de Tarbes. Il est décédé jeudi 23 juillet dernier au Mali, lors d'un contact avec un véhicule suicide rempli d’explosifs. Célibataire et sans enfant, il s’était engagé avec le 1er RHP en 2008. Il avait été envoyé au Mali le 14 juillet dernier.
43 soldats français morts au Sahel
Le soldat traversera donc le pont Alexandre III avant de rejoindre la cour d’honneur des Invalides, où une cérémonie sera organisée. Une seconde cérémonie devrait se tenir dans la semaine, sans que la date n’ait encore été précisée, à Tarbes, où est basé le régiment du soldat défunt. Depuis le début des opérations Serval et Barkhane, 43 soldats français sont morts au Sahel.
Début mai, deux légionnaires avaient également trouvé la mort dans le cadre de l’opération Barkhane. Cette opération, qui a pris la suite de l’opération Serval lancée en 2013, compte quelques 5.000 soldats français. Ces derniers mois, l’armée française a multiplié les offensives dans la bande sahélo-saharienne, en particulier dans la zone des trois frontières, entre le Burkina Faso, le Niger et le Mali.
Début mai, deux légionnaires avaient également trouvé la mort dans le cadre de l’opération Barkhane. Cette opération, qui a pris la suite de l’opération Serval lancée en 2013, compte quelques 5.000 soldats français. Ces derniers mois, l’armée française a multiplié les offensives dans la bande sahélo-saharienne, en particulier dans la zone des trois frontières, entre le Burkina Faso, le Niger et le Mali.