Le défi technologique d'un avion spatial militaire
Dassault Aviation
Le Ministère des Armées, à travers le projet de Loi de Programmation Militaire, qui va être débattue au Parlement, prévoit un investissement de 10 milliards d'euros en recherche et développement. L'objectif : effectuer des sauts technologiques majeurs. Cette volonté d'innovation a pour but de donner à nos armées la maîtrise des nouveaux champs de conflictualité : l'espace, le champ informationnel, le fond marin et le cyber.
Parmi les projets innovants envisagés, la conception d'un avion spatial militaire est mentionnée. L'idée d'un tel engin, dédié aux opérations militaires spatiales, n'est pas nouvelle. Eric Trappier, PDG de Dassault Aviation, avait déjà soutenu ce concept en 2018, suivi par le général Philippe Lavigne, chef d'état-major de l'armée de l'Air & de l'Espace.
Parmi les projets innovants envisagés, la conception d'un avion spatial militaire est mentionnée. L'idée d'un tel engin, dédié aux opérations militaires spatiales, n'est pas nouvelle. Eric Trappier, PDG de Dassault Aviation, avait déjà soutenu ce concept en 2018, suivi par le général Philippe Lavigne, chef d'état-major de l'armée de l'Air & de l'Espace.
Vers une nouvelle ère de la défense spatiale ?
La mise en place d'un avion spatial militaire marquerait un véritable un tournant dans la défense spatiale. Si ce projet était réalisé, il offrirait aux armées une flexibilité sans précédent, notamment pour le placement de charges en orbite. Cette innovation, en reprenant l'idée de la navette spatiale, fait preuve d'une adaptabilité remarquable aux défis technologiques actuels.
Le futur de la défense spatiale dépendra largement de la réussite de cette étude technico-opérationnelle. Une telle avancée pourrait changer la donne en termes de contrôle spatial. Comme l'a affirmé Eric Trappier : "Qui contrôle l'espace, contrôlera ce qu'il y a en dessous". La question est désormais de savoir si cette vision ambitieuse pourra se concrétiser dans les prochaines années...
Le futur de la défense spatiale dépendra largement de la réussite de cette étude technico-opérationnelle. Une telle avancée pourrait changer la donne en termes de contrôle spatial. Comme l'a affirmé Eric Trappier : "Qui contrôle l'espace, contrôlera ce qu'il y a en dessous". La question est désormais de savoir si cette vision ambitieuse pourra se concrétiser dans les prochaines années...