Les points forts du Système de mini-drones pour la Marine
Le Système de drones aériens de la Marine (SDAM) bat quelque peu de l’aile. En revanche, le Système de mini-drones pour la Marine (SMDM) offre visiblement toute la satisfaction possible. C’est ce qui ressort de la récente audition devant le Sénat du chef d’état-major de la Marine nationale. L’amiral Pierre Vandier a ainsi pu expliquer les points forts de ce système aux sénateurs.
Le SMDM est ainsi capable de s’adapter à des bateaux récemment armés, comme à des bâtiments de plus de 40 ans d’âge. Il peut ensuite rejoindre des navires qui ne sont pas équipés de plateforme pour hélicoptère. Il a la capacité de voler jusqu’à trois heures, à une distance de trente nautiques du bateau, ce qui lui confère une portée et une autonomie importante.
Le SMDM est ainsi capable de s’adapter à des bateaux récemment armés, comme à des bâtiments de plus de 40 ans d’âge. Il peut ensuite rejoindre des navires qui ne sont pas équipés de plateforme pour hélicoptère. Il a la capacité de voler jusqu’à trois heures, à une distance de trente nautiques du bateau, ce qui lui confère une portée et une autonomie importante.
La Marine nationale intéressée par un emploi sur porte-avions
De quoi pousser la réflexion encore plus loin. Et notamment en déployant ce type de drones directement à bord des porte-avions. L’idée n’est pas nouvelle. Elle avait déjà été évoquée en avril dernier par un ex-député, Fabien Gouttefarde, dans la réflexion de doter la Marine nationale de deux porte-avions de nouvelle génération.
Une idée qui semble séduire jusqu’aux plus hautes autorités de la Royale. « La Marine nationale est très intéressée par les perspectives de drones de combat embarqués sur porte-avions », ce qui permettrait au porte-avions de « disposer d'un groupe aérien mixte » a ainsi expliqué l’amiral Pierre Vandier, à condition bien sûr d’équiper le Charles-de-Gaulle pour cela, ou d’envisager un second porte-avions.
Une idée qui semble séduire jusqu’aux plus hautes autorités de la Royale. « La Marine nationale est très intéressée par les perspectives de drones de combat embarqués sur porte-avions », ce qui permettrait au porte-avions de « disposer d'un groupe aérien mixte » a ainsi expliqué l’amiral Pierre Vandier, à condition bien sûr d’équiper le Charles-de-Gaulle pour cela, ou d’envisager un second porte-avions.