Une réponse au déficit de recrutement
Le général Pierre Schill, actuel chef d’état-major de l’armée de Terre, a récemment révélé un déficit de recrutement qui ne cesse de s’accroître. Malgré les efforts numériques déployés pour connaître et sélectionner mieux les candidats, l'armée de Terre est confrontée à un manque significatif de recrues. Un écart qui pousse les responsables à explorer des avenues innovantes pour attirer des talents diversifiés.
La situation actuelle est loin des jours où le général Jean-Pierre Bosser se félicitait d'avoir augmenté les flux annuels de recrutement de près de 80%. Aujourd’hui, la bataille du recrutement exige des stratégies renouvelées et des adaptations rapides. Une réflexion approfondie est en cours pour déterminer si le déficit est le résultat d'un vivier de recrutement réduit ou un contre-coup de la pandémie de COVID-19.
La situation actuelle est loin des jours où le général Jean-Pierre Bosser se félicitait d'avoir augmenté les flux annuels de recrutement de près de 80%. Aujourd’hui, la bataille du recrutement exige des stratégies renouvelées et des adaptations rapides. Une réflexion approfondie est en cours pour déterminer si le déficit est le résultat d'un vivier de recrutement réduit ou un contre-coup de la pandémie de COVID-19.
Vers une modernisation des critères de santé
L'un des changements majeurs annoncés concerne la révision des prérequis en matière de santé pour le recrutement. Le général Schill souligne que l’objectif n’est pas de baisser les normes mais de les individualiser davantage selon les métiers au sein de l’armée. Une approche flexible qui reconnaît que chaque rôle nécessite des aptitudes et des conditions physiques spécifiques.
Cette adaptation implique que des problèmes de santé précédemment éliminatoires, tels que certaines conditions physiques ou des problèmes dentaires, ne seront plus des obstacles immédiats. Les recrues auront une année pour atteindre le niveau requis, avec l’appui du Service de santé des armées. Cette initiative vise à élargir le bassin de candidats tout en maintenant des standards élevés de performance et de santé au sein des forces armées.
Cette adaptation implique que des problèmes de santé précédemment éliminatoires, tels que certaines conditions physiques ou des problèmes dentaires, ne seront plus des obstacles immédiats. Les recrues auront une année pour atteindre le niveau requis, avec l’appui du Service de santé des armées. Cette initiative vise à élargir le bassin de candidats tout en maintenant des standards élevés de performance et de santé au sein des forces armées.