Une mission principalement axée sur la Méditerranée
C’est une mission de grande envergure qui se prépare activement depuis Toulon. Le 3 février prochain, la mission Clémenceau 22 s’élancera en Méditerranée, afin de réaffirmer les intérêts de la France et de ses alliés dans cette zone, tendue, qui voit passer chaque année 25% du trafic maritime mondial et 65% des flux énergétiques de l’Union européenne.
Cette mission, à vocation internationale, se compose en grande partie d’éléments français. Autour du porte-avions Charles de Gaulle, on retrouvera ainsi une frégate multi-missions anti-sous-marine (FREMM), une frégate multi-missions de lutte aérienne renforcée (FREMM DA), une frégate de défense aérienne (Horizon), un pétrolier ravitailleur et un sous-marin.
Cette mission, à vocation internationale, se compose en grande partie d’éléments français. Autour du porte-avions Charles de Gaulle, on retrouvera ainsi une frégate multi-missions anti-sous-marine (FREMM), une frégate multi-missions de lutte aérienne renforcée (FREMM DA), une frégate de défense aérienne (Horizon), un pétrolier ravitailleur et un sous-marin.
La participation à plusieurs opérations nationales et internationales
Côté international, seront également présents un destroyer américain (classe Arleigh Burke flight I), une frégate espagnole (classe F100) ainsi qu’une frégate et un sous-marin de la Marine grecque. À bord du Charles de Gaulle, seront également présents des officiers italiens, allemands et canadiens. Un dispositif qui permettra, entre autres, de tester l’interopérabilité du chasseur français, le Rafale.
La mission Clémenceau 22 doit notamment apporter un soutien à l’opération de l’Union européenne IRINI, dont le but est de faire respecter l’embargo sur les armes en Libye, mais aussi démanteler les réseaux de migrants et entraîner la Marine libyenne. Cette mission participera également à l’opération Althea destinée à assurer la stabilité en Bosnie-Herzégovine. Sans oublier une participation active à l’opération Chammal dans la lutte contre l’État islamique.
La mission Clémenceau 22 doit notamment apporter un soutien à l’opération de l’Union européenne IRINI, dont le but est de faire respecter l’embargo sur les armes en Libye, mais aussi démanteler les réseaux de migrants et entraîner la Marine libyenne. Cette mission participera également à l’opération Althea destinée à assurer la stabilité en Bosnie-Herzégovine. Sans oublier une participation active à l’opération Chammal dans la lutte contre l’État islamique.