Au moins 14 morts dans des frappes au Liban
La frappe israélienne, qui a visé la banlieue sud de Beyrouth, a eu lieu dans un contexte de tensions croissantes entre Israël et les groupes armés libanais, en particulier le Hezbollah. Ibrahim Aqil, chef de l’unité Radwan, l’une des plus redoutées au sein du Hezbollah, a été éliminé lors de cette opération militaire ciblée. Cette unité paramilitaire est connue pour ses opérations complexes et son rôle clé dans les actions militaires du Hezbollah.
Selon les informations disponibles, l'attaque israélienne a été particulièrement intense, avec plus de 60 frappes en l'espace de vingt minutes. Ces frappes sont les plus lourdes dans la région depuis le 7 octobre, marquant une escalade significative dans la confrontation entre les deux camps. Le raid a causé la mort d’au moins 14 personnes et fait 66 blessés, selon le ministère libanais de la Santé.
Selon les informations disponibles, l'attaque israélienne a été particulièrement intense, avec plus de 60 frappes en l'espace de vingt minutes. Ces frappes sont les plus lourdes dans la région depuis le 7 octobre, marquant une escalade significative dans la confrontation entre les deux camps. Le raid a causé la mort d’au moins 14 personnes et fait 66 blessés, selon le ministère libanais de la Santé.
Une riposte aux tirs de roquette en Israël
L’armée israélienne a justifié cette frappe en affirmant avoir ciblé des responsables du Hezbollah impliqués dans les tirs de roquettes sur Israël. La mort d'Ibrahim Aqil constitue, selon elle, une réussite stratégique majeure. Le contre-amiral Daniel Hagari, porte-parole de l’armée israélienne, a déclaré que cette opération visait à affaiblir la capacité militaire du Hezbollah et à éliminer les commandants responsables des récentes attaques.
Israël a toutefois précisé qu’il ne cherchait pas à provoquer une escalade plus large du conflit dans la région. Selon les autorités israéliennes, l’opération s’inscrit dans le cadre de leurs objectifs militaires actuels, qui consistent principalement à assurer la sécurité de leurs frontières face aux tirs de roquettes réguliers provenant du sud du Liban. Israël reste donc déterminé à poursuivre ces actions tant que la menace persiste, tout en affirmant vouloir éviter un conflit régional généralisé.
Israël a toutefois précisé qu’il ne cherchait pas à provoquer une escalade plus large du conflit dans la région. Selon les autorités israéliennes, l’opération s’inscrit dans le cadre de leurs objectifs militaires actuels, qui consistent principalement à assurer la sécurité de leurs frontières face aux tirs de roquettes réguliers provenant du sud du Liban. Israël reste donc déterminé à poursuivre ces actions tant que la menace persiste, tout en affirmant vouloir éviter un conflit régional généralisé.