La guerre de haute intensité en mer
Journée chargée pour le ministre des Armées. Mardi 18 octobre, Sébastien Lecornu a inauguré le salon Euronaval 2022, au Bourget. Une édition qui se tient dans un contexte particulier, à savoir la redécouverte d’une guerre de haute intensité. Ce concept, c’est celui de la nouvelle doctrine militaire française pour les années à venir, et la Marine nationale est évidemment concernée.
Même si ce conflit se déroule essentiellement sur terre, l’impact sur les mers n’est pas anodin. Et les forces de la Marine ont leur rôle à jouer en matière d’appui des forces au sol. D’où l’objectif de doter la Marine nationale des meilleurs équipements possibles en vue du retour du combat en mer. Le salon Euronaval semble être l’endroit privilégié pour échanger sur ces sujets.
Même si ce conflit se déroule essentiellement sur terre, l’impact sur les mers n’est pas anodin. Et les forces de la Marine ont leur rôle à jouer en matière d’appui des forces au sol. D’où l’objectif de doter la Marine nationale des meilleurs équipements possibles en vue du retour du combat en mer. Le salon Euronaval semble être l’endroit privilégié pour échanger sur ces sujets.
Des décisions importantes à prendre rapidement
Sébastien Lecornu a ainsi pu faire le point sur les projets actuels ou à venir. Actuels, comme par exemple le développement du sous-marin nucléaire d’attaque de type Suffren. Et futurs, comme le porte-avions de nouvelle génération qui fait couler beaucoup d’encre. Le ministre des Armées a notamment indiqué que le développement de la Marine nationale passerait par des investissements sur le long terme, ainsi que des paris sur l’avenir.
Le ministre des Armées a également admis que « la base industrielle et technologique de défense doit être à la hauteur de l’engagement de nos marins », et qu’il faudrait « prendre des décisions importantes rapidement ». La mer est aujourd’hui devenue un objet de convoitises qui mettent à mal la souveraineté d’un pays. Un contexte hautement sensible pour la Marine nationale.
Le ministre des Armées a également admis que « la base industrielle et technologique de défense doit être à la hauteur de l’engagement de nos marins », et qu’il faudrait « prendre des décisions importantes rapidement ». La mer est aujourd’hui devenue un objet de convoitises qui mettent à mal la souveraineté d’un pays. Un contexte hautement sensible pour la Marine nationale.