Un plan mixité pour la Défense
Montrer aux femmes officiers qu’accéder au poste de général est une chose possible, et souhaitable. C’est le but de Florence Parly. La ministre des Armées, qui a lancé il y a un an un plan "mixité", souhaiterait qu’en 2022, 10% des généraux de la Défense soient des femmes. La ministre a fait de la mixité son cheval de bataille. Aujourd’hui, nommer une femme à un poste militaire est un symbole très fort dans un univers essentiellement masculin.
Le 24 juillet prochain, le général Dominique Arbiol prendra le commandement de la base aérienne de Salon de Provence et de l’Ecole de l’Air qui se situe au même endroit. Florence Parly ne manquera pas d’assister à la passation de commandement. La ministre des Armées souhaiterait que dans les années à venir, ce genre de nominations se multiplie.
Le 24 juillet prochain, le général Dominique Arbiol prendra le commandement de la base aérienne de Salon de Provence et de l’Ecole de l’Air qui se situe au même endroit. Florence Parly ne manquera pas d’assister à la passation de commandement. La ministre des Armées souhaiterait que dans les années à venir, ce genre de nominations se multiplie.
Tolérance zéro sur le harcèlement et promotion de la carrière d'officier
Avec ce plan mixité, c’est un véritable changement de mentalité que souhaite la ministre des Armées. Tolérance zéro sur le harcèlement, mobilisation des femmes sur des missions pour lesquelles elles étaient éloignées pour l’instant et opération séduction grande envergure pour les femmes qui envisageraient peut-être d’embrasser une carrière d’officier au sein des Armées.
Actuellement, ces dernières sont encore trop peu nombreuses dans les écoles d’officiers, qu’il s’agisse de Saint-Cyr, de l’école navale, ou encore de l’école de guerre. À l’inverse, on observe une parité parfaite au Commissariat des armées, ainsi qu’une majorité de femmes pour les écoles de la santé. L’idée est là, reste désormais à trouver les candidates !
Actuellement, ces dernières sont encore trop peu nombreuses dans les écoles d’officiers, qu’il s’agisse de Saint-Cyr, de l’école navale, ou encore de l’école de guerre. À l’inverse, on observe une parité parfaite au Commissariat des armées, ainsi qu’une majorité de femmes pour les écoles de la santé. L’idée est là, reste désormais à trouver les candidates !