LIP, l'horlogerie résiliente
LIP Fantôme - LIP
Endurer malgré les épreuves. Cette maxime, qui s’applique assez bien au quotidien des Forces spéciales, est également celle de la maison française d’horlogerie LIP. Cette dernière, fondée à Besançon en 1867, est toujours debout, et cela en dépit des coups durs. Il faut dire que depuis sa naissance, LIP n’aura pas été épargnée : des guerres, des conflits sociaux, des catastrophes industrielles, etc.
Depuis des années, la marque française ne cesse de se renouveler en produits des garde-temps accessibles et de qualité, bien que les mouvements soient depuis quelque temps importés d’Asie. LIP n’a eu également de cesse de proposer des séries spéciales pour certaines de ses montres. Outre le fait qu’elle ait donné l’heure à tous les présidents de la Vème République. Même Winston Churchill a eu la sienne !
Depuis des années, la marque française ne cesse de se renouveler en produits des garde-temps accessibles et de qualité, bien que les mouvements soient depuis quelque temps importés d’Asie. LIP n’a eu également de cesse de proposer des séries spéciales pour certaines de ses montres. Outre le fait qu’elle ait donné l’heure à tous les présidents de la Vème République. Même Winston Churchill a eu la sienne !
La nouvelle montre des Forces spéciales de l'Armée de Terre
Pour Noël, ce sont les Forces spéciales de l’Armée de Terre qui pourront accrocher à leur poignet la nouvelle montre de la marque. Baptisée « Fantôme », ce garde-temps a été conçu en partenariat avec le Commandement des Forces Spéciales Terre (COM FST), une division du Commandement des Forces Spéciales composée du 4ème régiment d’hélicoptères des forces spéciales (4ème RHFS), du 13ème régiment de dragons parachutistes (13ème RDP) et du 1er régiment de parachutistes d’infanterie de marine (1Er RPIMA).
Pour ces unités habituées à des combats intensifs, dans des conditions extrêmes, le COM FST voulait une montre française évidemment, robuste et précise. Ces unités opérant majoritairement de nuit, il fallait également une montre qui ne se voit pas, ou très peu, dans le noir. C’est pour cette raison que les pièces de la Fantôme ont été sablées et noircies. Le verre a subi quant à lui un traitement anti-reflet spécial. Produite à 2.500 exemplaires dans un premier temps (le nombre d’opérateurs du COM FST), la Fantôme sera fabriquée en février à un millier d’exemplaires pour le grand public, et vendue à un tarif avoisinant les 700 euros.
Pour ces unités habituées à des combats intensifs, dans des conditions extrêmes, le COM FST voulait une montre française évidemment, robuste et précise. Ces unités opérant majoritairement de nuit, il fallait également une montre qui ne se voit pas, ou très peu, dans le noir. C’est pour cette raison que les pièces de la Fantôme ont été sablées et noircies. Le verre a subi quant à lui un traitement anti-reflet spécial. Produite à 2.500 exemplaires dans un premier temps (le nombre d’opérateurs du COM FST), la Fantôme sera fabriquée en février à un millier d’exemplaires pour le grand public, et vendue à un tarif avoisinant les 700 euros.