Un programme baptisé « Make In India »
C’est une possibilité qui donne en quelque sorte l’impression de remonter le temps… On se souvient qu’en 2007-2008, le ministère de La Défense indien avait prévu d’acheter la bagatelle de 126 Rafales — 108 d’entre eux devant être fabriqués sous licence par Hindustan Aeronautics Limited. Un accord finalement abandonné en 2015 pour des raisons politiques.
L’histoire repassant parfois les plats, il se dit que Dassault Aviation serait bien placé pour vendre incessamment 114 Rafales supplémentaires aux forces aériennes indiennes. 96 exemplaires serairnt construits en Inde dans le cadre du programme baptisé « Make In India » L’avion de combat multirôle français multiplie les conquêtes et a fait la preuve de ses capacités.
L’histoire repassant parfois les plats, il se dit que Dassault Aviation serait bien placé pour vendre incessamment 114 Rafales supplémentaires aux forces aériennes indiennes. 96 exemplaires serairnt construits en Inde dans le cadre du programme baptisé « Make In India » L’avion de combat multirôle français multiplie les conquêtes et a fait la preuve de ses capacités.
Plus de flexibilité en termes de transferts de technologie
Après 36 Rafale en 2016, le choix de la marine indienne de s’équiper de 26 chasseurs Rafale-M (Marine) pour un déploiement à bord de l'INS Vikrant s’était notamment fait sur les « points communs » existant entre ces appareils, comparé au rival signé Boeing. Une augmentation du nombre de Rafale au sein de l’IAF présenterait donc « un immense sens opérationnel, commercial et logistique ». et simplifierait la gestion d'une flotte par trop hétérogène.
Le fait que Dassault ait d’ores et déjà mis en place tant une formation en vol qu’une installation de maintenance, de réparation et de révision (MRO) à la base d’Ambala réduirait grandement les coûts globaux d’une telle acquisition. Et ce d’autant plus que l’avionneur français propose plus de flexibilité quant aux transferts de savoir-faire militaire de haute technologie que son concurrent américain.
Le fait que Dassault ait d’ores et déjà mis en place tant une formation en vol qu’une installation de maintenance, de réparation et de révision (MRO) à la base d’Ambala réduirait grandement les coûts globaux d’une telle acquisition. Et ce d’autant plus que l’avionneur français propose plus de flexibilité quant aux transferts de savoir-faire militaire de haute technologie que son concurrent américain.