Soutenir la base industrielle de défense
No limit, ou presque. Auditionnée à l'Assemblée nationale, Florence Parly a confirmé la commande de dix hélicoptères NH90, dans une nouvelle version, afin d'appuyer les forces spéciales françaises, ainsi que la commande de douze chasseurs Rafale censés remplacer ceux cédés à la Grèce récemment. Des commandes qui s'inscrivent dans sa volonté de soutenir la base industrielle de défense.
Les dix nouveaux hélicoptères NH90 doivent ainsi être livrés au 4ème Régiment d'hélicoptères des forces spéciales. Ce nouveau modèle peut notamment transporter jusqu'à 20 commandos des forces spéciales, et opérer dans des conditions de visibilité très dégradées. Les pilotes de ces hélicoptères pourront en outre bénéficier de nouveaux casques de vision et de tir.
Les dix nouveaux hélicoptères NH90 doivent ainsi être livrés au 4ème Régiment d'hélicoptères des forces spéciales. Ce nouveau modèle peut notamment transporter jusqu'à 20 commandos des forces spéciales, et opérer dans des conditions de visibilité très dégradées. Les pilotes de ces hélicoptères pourront en outre bénéficier de nouveaux casques de vision et de tir.
Des commandes étalées dans le temps
Les cinq premiers appareils devraient être livrés en 2025. Quant aux cinq suivants, il faudra attendre 2026. À l'heure actuelle, 69 de ces hélicoptères sont en service dans les armées françaises. Ce nouveau Caïman est produit par NH Industries, un consortium européen qui comprend Fokker, Leonardo ainsi qu'Airbus Helicopters.
L'autre commandée annoncée par la ministre des Armées porte sur les chasseurs Rafale. Récemment, la France s'est engagée à céder à la Grèce 18 chasseurs de ce type, dont douze d'occasion, le tout pour un montant 1,8 milliard d'euros. Une décision qui a inquiété les forces aériennes françaises. Ces douze avions seront donc remplacés, mais pas avant deux ans.
L'autre commandée annoncée par la ministre des Armées porte sur les chasseurs Rafale. Récemment, la France s'est engagée à céder à la Grèce 18 chasseurs de ce type, dont douze d'occasion, le tout pour un montant 1,8 milliard d'euros. Une décision qui a inquiété les forces aériennes françaises. Ces douze avions seront donc remplacés, mais pas avant deux ans.