L'Australie annule son contrat avec Naval Group
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D’avis de spécialistes, personne n’avait vu le coup venir. D’après la presse australienne, Canberra annulerait actuellement l’énorme contrat de 50 milliards de dollars portant sur douze sous-marins de classe Attack. Des sous-marins à propulsion conventionnelle qui n’auraient finalement plus les bonnes grâces de l’Australie, qui semble leur préférer une coopération américano-britannique axée sur des navires à propulsion nucléaire.
Un véritable coup dur pour l’industrie militaire française. À l’heure actuelle, le ministère des Armées ne s’est pas exprimé sur la question. Mais il ne faut pas être grand clerc pour imaginer l’état d’esprit du moment au sein du cabinet de Florence Parly. Du côté de Naval Group, on se refuse pour l’instant à tout commentaire. Mais la perte d’un contrat d’une telle ampleur pourrait très sérieusement plonger le groupe dans la tourmente pour quelques années.
Un véritable coup dur pour l’industrie militaire française. À l’heure actuelle, le ministère des Armées ne s’est pas exprimé sur la question. Mais il ne faut pas être grand clerc pour imaginer l’état d’esprit du moment au sein du cabinet de Florence Parly. Du côté de Naval Group, on se refuse pour l’instant à tout commentaire. Mais la perte d’un contrat d’une telle ampleur pourrait très sérieusement plonger le groupe dans la tourmente pour quelques années.
L'Australie championne dans le registre de la haute trahison
Depuis quelques semaines pourtant, on espérait voir signée prochainement la phase suivante du contrat, une phase appelée Core Work Scope 2. Une signature qui aurait même pu avoir lieu avant la fin du mois de septembre. Pour rappel, ce méga-projet franco-américain avait été signé en 2016. Il portait sur la fabrication de douze submersibles, ainsi que la construction d’un chantier naval à Adélaïde.
Au-delà du coup dur, on peut très simplement parler de haute trahison. Cette décision risque non seulement de nuire très fortement aux relations entre la France et l’Australie. Elle menace également l’un des fleurons de l’industrie militaire de l’Hexagone, qui aura certainement beaucoup de mal à se remettre d’un tel fiasco.
Au-delà du coup dur, on peut très simplement parler de haute trahison. Cette décision risque non seulement de nuire très fortement aux relations entre la France et l’Australie. Elle menace également l’un des fleurons de l’industrie militaire de l’Hexagone, qui aura certainement beaucoup de mal à se remettre d’un tel fiasco.