Vers le développement de soldats augmentés
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Le sujet fait fantasmer. Nourri par le cinéma et la science-fiction, le mythe du soldat augmenté n’a pourtant été jamais aussi proche de nos armées. En effet, la ministre des Armées, Florence Parly, a indiqué que le sujet était bel et bien d’actualité, et même en voie de développement. Elle s’exprimait à la suite d’un avis positif rendu par un comité d’éthique de la défense, sur cette question.
Tout reste encore à faire. Mais l’essor des nouvelles technologies, qui concerne particulièrement l’univers de la Défense, ouvre de nombreux possibles à cette question, très sensible sur le plan économique, stratégique et bien sûr éthique. Avant de lancer le développement d’outils destinés à augmenter les performances des soldats sur le terrain, il convient en effet de répondre à la question suivante : mais qu’est-ce qu’un soldat augmenté ?
Tout reste encore à faire. Mais l’essor des nouvelles technologies, qui concerne particulièrement l’univers de la Défense, ouvre de nombreux possibles à cette question, très sensible sur le plan économique, stratégique et bien sûr éthique. Avant de lancer le développement d’outils destinés à augmenter les performances des soldats sur le terrain, il convient en effet de répondre à la question suivante : mais qu’est-ce qu’un soldat augmenté ?
Des uniformes augmentés
On peut en effet augmenter les performances d’un combattant de plusieurs manières. La ministre des Armées semble avoir tranché, de manière imagée. « Oui à l’armure d’Iron Man et non à l’augmentation et à la mutation génétique de Spiderman ». On comprend ainsi que Florence Parly donne son aval pour un développement technologique de cette question, mais qu’il ne sera pas permis d’effectuer de modifications au niveau du physique des combattants.
La ministre des Armées a confirmé que l’emploi de technologies invasives, comme par exemple des puces sous-cutanées, n’était pas à l’ordre du jour. Mais qu’il faudrait se montrer vigilant. Florence Parly a en effet mis en garde sur le fait que « tout le monde n’a pas nos scrupules et c’est un futur auquel il nous faut nous préparer ». Affaire à suivre.
La ministre des Armées a confirmé que l’emploi de technologies invasives, comme par exemple des puces sous-cutanées, n’était pas à l’ordre du jour. Mais qu’il faudrait se montrer vigilant. Florence Parly a en effet mis en garde sur le fait que « tout le monde n’a pas nos scrupules et c’est un futur auquel il nous faut nous préparer ». Affaire à suivre.